ION fetard, était devenue una adatra d’État. L’archevéque deParia I, de Beaumont, s’ ’t il’Él¢¢tlÉi lepllzlllllolltlaptotégealt cour agit dans le même aena, et voulut obliger l’archevéqvîte à revenir aurses démarches. La cardinal de euotn. arebeveuue de Lyon, étant mort sur caa entrefaltesll mars lïliîlv ll, de Montaaet futnomméaaaplacesonprétendit que cefutà °lmdl*19¤ gi œaaerait, comme primat, l’ortloütiattoe Yatultevêque de Paris ; ce qu’il tit eu effet le 8 avril, avant même d’avoir reçu ses lrullaa pour Lyon, et en sa prévalant de la aquahlé d’a miniatrateur du siège de Lyon pe ant la vacance, titre que prenaient les évêques d’Autun. Gette détzarche de lontaaetéparât aussi que peu orme aux gar · q n’il roi un collè ue, son ancien dans l’égroom, et qui était flore dans la disgrâce ; elle t surtout dans le cleraés et les womblées des provinces ne réclamèœnt pas moins fortement que I. de Beaumont. Maia la cour empêcha qu’on donna ! suite à ces plaintes. lfarchevéque de Lyon se trouva ainsi engagé delta lllte route nouvelle : appuyé par le parlement, applaudi par un parti d’oppo¤ilion, il suivit la même ligne que lt. de Fit :·James et une très-pelile minorité tfévêques, reconnaissant lëlutorité des constitutions reçues dans l’Église, et toulergint cependant ceux qui les combattaient. Il était rt li avec l’abbé Hey, et il s’entoura danssou diocèse de théologiens de cette école ; Uëlaient eux qui avaient sa confiance et qui l’aidaient dans la compoaitionde ses ouvrages. Il forma deux nouveaux séminaires, l’un dans la maison des Pères de l’oratoire, auxquels il avait déjà fait donner le colléü de la ville ; l’autre dans celle des prêtres de congrégation de St-Josïh ; et il exigea que les élèves qui auraient étu ré à St-Sulpice allassent passer quelque temps dans l’une de ces maims avant de prendre es ordres. Il eut denlongs dérnelés avec son rhagütre pour des usages et des privilèges qu’il sarvint à faire abolir. Il supprime la signature u formulaire, changea tous les livres liturgiques du, diocèse et se mit en opposition avec la moitié de son clergé. La fin de son égrzopat fut troublée par les excès de quelques lrques Lyoneti Fareins. Ces scènes et des chagrins domestiixuœ attristèrent ses derniers üvnn ; il mourut Lyon le 3 mai 1788. Ce pré t avait été reçu à l’Académie française en 1157, et il y fut remplacé par le chevalier de Bouillon. Il possédait les abbayesdelloustièrenargouueetde St-Victor de Paris. Il avait des thgllttés estimablœ et un caractère généreux ; pme d’esprit et de talent, il écrivait avec élégance et fadlrté ; mais il est difficile d’assigner bien exactement la part qui lui revient dans les ouvrages publiés sous son nom et dont nous alions nommer les principaux : i’Lettre de H. Farrheeéque de Lyon, prieur de Pmnœ, àl. fanlrerlpu de Poria,
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Lyon, neo, in-t• ; elle roulait sur Pathire des
religieuses dont nous avons parlé. L’abhé Icy
en avait fourni les matériaux ; on assura que la
rédaction est de l’archevêque lui-même. !• Lettre
patronale de 30 join 103, tn¢t•, relativement
sesditlérandaavcelesotlloiersdelaville
de [short sur le choix des maîtres qui devaient
rtm cerlesgésuilea ; 3°ilesd••ieetetiaea-eeti«u
pastorale eeiitre ïülairt dopeayitdeûiea, de
Berruyer, 1163, invit ;. t• lleedeneru et iennetion
Galante pour le défense le son caadrlùtrre,
1772, in-t• et in-ti. Cet écrit, dont l’appelant
Gourlin avait fourni lm Illültllll, était une néponse
à une Critique enferme le dialogue, que
’on attribue lt un ancien jésuite nommé Arnaud.
5° Itaatrttctiora patronale eur la eoarcea de l’inerédttlitt
! et leefealeaiente de le religion, 1770, in-t• ;
le fond en ürit du ?. Lambert. Nous ne citerons point des mandements, soit pour des jubilés, Soit pour le carême ni des rapports faits aux assemblées du clergé de msn et de ma. Le catéchisme, le brai via ire et le rituel que l.· de llonlaaet publia ne sont pas proprement son ouvrage ; il les lit rédiger et y mit seulement le sceau de son autorité. ·ll en est de même de la philosophie et de la théologie dites de Lyos ; celle-et est du P. Joseph Valle de l’oratoiœ, que l’archevêque avait chargé de ce travail. Les Institutions théologiques msnrent en latin, Lyon, 1782, li vol. ia-18 ; e ne furent point encore adoptées alors puur l’enseignement. On engagea les professeurs à présenter leurs remarques ; mais on n’eut point égard acelles ui étaient les plus essentielles, et le livre fut dléllnltivement publié en 1784, et eservit dans les écoles du diocèse. On y évite ig s’expliquer sur des questions importantes, l’archevêque ayant recommandéauP.Valladenepoint aiaeerparaitœ ses opinions sur les dernières contestations de VEgisetatlaéclogrenouvelletutattaqtsée dansdes Obeeruetioee de l’abbé Pey et dans deux Lettres du même, 1786et 1787, in-ti ; ainsi que par Feller dans son journal, et dans des Lettm du curé deStJ•tqu•adeLyones¤uvwéd¢ Stelco : de St-oeur ; d’un autre côté, Valla publia une Ddfease de la tUel• !’• dt Leu. U88, hr-12. P—·r.
IONTBARIIBY (arxxmnan-lean-làonoa nn Saumlauatea, princena), ministre de la guerre sous Louis XVI, était néallesançon le 20 avril 1732, d’une famille illustre par son ancienneté et par les hommes distingués qu’elle aproduils (co ;. Sant-r·¥aoates). Son père était licutœant général des armées du voi ; sa mère, petite-fille du maréchallndu Bourg, rnourutuicêx couchesd ; poiscnque’avaitdenuésaga, pressée s’approprier sa dépouille, qui lui était dévolue par un usage que ce crime Btabolir. lontbarrey, destiné sa naissance au métier des armes, obtint ame dedouze ans une compagnie dans le régiment de Lorraine, et fit avec ce cgarps plusieurs campagnes en Allemagne 2 dans le