ta lift ! cs rüitdtqua gms ei, nuuii»ni1·i-g-iae¢a»» un ¢¢’¢¢Él’0}|Ul’¢J, par Vuet. Comme vaiu, i a peu de mérite ; son style est dilltis et désagréable : mais ses dessins, remartqnbitiugsi leur exactitude et leur netteté, ont contrib aux progrès de Yentomologîe. Il mon-, rut le 2 janvier 1789. Voici les titres de ses principaux ouvrages : 1° Du lfanaeton. Ce traité a obtenu le pris proposé par l’Académie de llanheim. 2°* Bnrârqsm sur quelque : chenille : etpqilloar. dans le Natvalislo, pour 1774, 4° numéro, p. 121-7 ; 3· il publia, avec des notes, le Roapenleben (Sar (0 via du clenülu), par Jos. tlader, ou Indication des’dans leaqualr on trouve le : chenilles, déçriteîîildesainéaa par Rôrel et Kleeatmm, œuqueller ua a joint ler Oltraroaliona de Limté sur le.rpapillan : qui ou proviennent. Nuremberg, 1777, grand ln-8". Cet ouvrage eut trois éditions. 4¤ Suppléments fhùtoire du insecte :. faisant suite aux Récréation : enlomologiqim de ltüael, avec la continuation, p¤r Clgr. Schwarz, 2° part., 1792-4. D-u.
KLEFEKER (lean), savant et laborieux magistrat de Hambourg, né dans cette ville le 11 aout1698, fit ses premières études avec beaucoup de distinction, et fréquente ensuite les principales universités de l’Allemagne. De retour dans sa patrie, il reçut des témoignages flatteurs de l’estime de aes concitoyens, qui l’élurent membre du sénat ; il parvint i l’emploi de’syndic, qu’il remplit plusieurs années de manière à se concilier l’affec. tion publique, et mourut le 2 novembre 1775. Outre quelques ouvrages d’un intérêt local, on connait de ui : 1° Bibliotheca erudiloruu prreroeitng, tira ad acripla Àuju : erguasenli xpicilagùnn et aereaainnar. Hambourg, 1717, petit in-8o. La préface renferme une notice des ouvrages qui avaient déiïparu sur les enfants célèbres, parmi lesquels Kléfeker mérite une place, puisqu’il ¤’avait guère que dix-neuf ans lorsqu’il publia son livre : il se borne à indiquer les articles traités par Baillet et les autres biographes ; mais il en.a ajouté un grand nombre rédlgrs avec beaucoup de soin, et accompagnés de notes qui indiquent les sources où il a puisé, attention qui rend cette Büliothègue précieuse pour les amateurs de l’histoire littéraire. 2° Cure gaogmpliicœ, publié par I. G. Busch, ibid., 1758 (1759), in-8o*. On y trouve une llsta critique et raisonnée des meilleures cartes géographiques connues i.cette époques On peut voir une bonne analyse de ce suriatsx Iémoire dans les Acta eraditovun Lips-. ORD, pi 874. 5° Collection du loi : et ordonnance : Je laüoarg. par ordre de matières, 1785-73, I ! vol. IIt·8 ! (en allemand), avae un volume de tablaapubiié pafG.Schutae. Cetlmportantouvragea été continuéjusqdi la fin du 19e siècle, par Qbr. Bang Anderson, 1795-·1801, 5 vol. iu·8°.. ¤.».......""""“ ’ ’7.""t°&..’i°éî’ü """’*"’, ..··.··."" •, N à ¤¤·’i •. le, t•• plane en 1775, in ; lf., g¤¢. de’ vente hl attrlua un’ll*vre sïngu ’ ’ulé Ie’
IIE Pvttdotitevtt WW: ddetriào lib pierre philosophie, ’ou ts Tabla Jéàeoiuude d’Hr•••sè: Trimegiste esplgaéses alleswsdd rénjllde (cpm Prepa•i¤¢·¢, par Pyrophllus, Hambourg,1756, ln-4°. (Voy. sa vie écrite en latin, par J. ILV. Noelting, ibid., 1778, in-fol.) ’, W’—s.
KLEIN (.Isep¤as-Tntonoas), célèbre naturaliste, né à Kltnigsberg, en,1tl85, fut pourvu de la ’ charge de secrétaire du sénat de Dsntzlg, place qui lui laissa le loisir nécessaire pour cultiver les sciences : il’mourut dans cette dernière ville le 27 février 1759. C’était, dit Cuvier, un homme très-laborieux, mais qui manquait de goût et de génie ; il a écrit sur presque toutes les parties de l’histoire naturelle, et entretenait des correspondances nombreuses qui l’aidèrent à former l’un des plus riches cabinets qu’on eut encore vus dans le nord de l’Europe ; mais il n’a jamais pu se faire une idée juste de ce que doivent être une méthode et une nomenclature d’histoire naturelle. Cependant ses écrits contiennent presque tous quelques faits ou quelques figures qui les rendent indispensables aux naturalistes. ninné a donné le nom de Kletnia à’une plante que ce naturaliste avait découverte et décrite le premier, et Jacquin lui a aussi consacré une plante d’Amé-. rique sous le nom de Kleinü rademlis. Il était membre de l’Académie des sciences de St-Pétersbourg, de la société royale de Londres, de l’Institut de Bologne, et il fut l’un des fondateurs de la société des amatet rs de l’histoire naturelle à Danuig. Outre un grau nombre de llémoires insérés dans les recueils « ces académies, on a de lui : 1°* I·’a : eiculai : plante un rariariun et exoticartan ez Itorto proprio, Dai. zig, 1’7î2, in-8o ; 2°* D¢·m-iptioner tubulorum marinorum, Danlzig, 1751, ll·1°, avec 10 pl. ; com Dirscrtationo epistclari de pilis ssmrinis, ibid., 1773, ln-£° : cette édition est plus belle, mais n’est qu’uno simple réimpression. 3°* Naturalis dirporizio eehinodew mien, ibid., 1734, in-1°*, avec 36 pl. ; nouvelle édition, augmentée par Natht God. Leska, Leipsick, 1718, in-4o, avec 54 pl. ; c’est encore à présent l’ouvrage le plus capital sur la famille des oursins. La première éditionna été traduite en français (par la Chesnaye des Bois), sous ce titre : Ordre naturel du ouraim de mer et foariles, Paris, 1754, in-8o*, avec le portrait de l’autem·. Uéditeur y a joint 6 pl. d’oursins tirés du cahinet de Réaumur. 4° Historia piscines ndtsralî: pro••ov¢•sd• ssùsi 5, run prerfatione de piscissss adüli, ibid., 171049, 5 part. ln·4¤. Cet ouvrage est peu commun en France. Les exem taires, avec l’ dicallon de Leipsicls, 1802, dlgèlent desiautres par la réimpression du preinier fascicule, sugmenté d’u¤e note au vèrso de l’a psîe 35, ’et pag Paddition d’une 6° ’rtle Mali Idtyo-’ logic e•ol(¤, aîa¢ ïdca ! rsrssla ed’blstL püdkas ••*•·¥ 1r•••s•#’ ’ ’ •sv•*·••*ke€•*r• *· ?1°’ë·
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