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s / W eeuust lia l Hung, qu’) eslxel il’algues hlé il ltldstls Égyptiens et que Champollion l’a eonaldéral•lemeut sée ; mais cette rte ne peut coudul qu’s la lecture nous proprrswïlhes rois’, queluesau ? erson¤•ge•, j.a’s n’el enestd’augone i pour la lecture des lyphes idéogr pblquea et symboliques, et que polllon presque toujours en roulant pliquer les Son système ne repose sur des Ines, et il change s volonté le ns qu’il aux’osractères, tant pholulîti ucs que symboliques. La connaissance impa à de l’anden idiouse del’l·’1gypte, que nous peu ns nous procurer par le secours du copte, né à jamais difilsante pour expliquer le sens d’inscription hiérog yphique, en supposant me qu’elle fut écrite en caractères phonétiques ; l’altération de la Table d’Abgdo :. publiée pa Champollion, donne la mesure de la confiance qiâznéritent ses travaux sur les antiquités égyptien s. 2t• Exenen critique des travaux Je ll. Champollion jeune sur les hiéroglyphes. Paris, 183&, in-8o. 22° Chestoesethie uundetoue ou Recueil de textes uuspdehouz. destiné aux personnes qui neulevrl (occuper e l’élude dgeelte langue, Paris, 1828, On y trouve I’Bloye de la ville de lloukdea. fpar l’e ereur Khian·|oung, avec une traduction aussi littérale qu’il était possible de la donne : en français, sans la rendre inintelligible. On sait que la version du P. Amiot était une véritable paraphrase, (cey.

KIIIAYPLOUBG). 25°* Notice d’•nse mappemonde et d’un¢ cocnogrephie chinoise :. Paris, 1855, in-8o. La mappemonde est un mélange d’idées chinoise set européennes. On doit donc supposer que l’auteur s’est servi pour la composer d’un planisphère européen dressé dans la première moitié du 16e siècle, et traduit en chinois par quelque missionnaire. Les détails o(l’rent des choses très-singulières. La cosmographie a pour auteur un docteur, qui, sous le règne de’Khang-lli (voy. ce nom), accompagne son père dans ses expéditions contre les pirates. Le livre parut en 1750 ; lilaproth s’est servi de l’édition qui fut publiée en 1195. 24°* Lettre d bl. le baron A. de Huusboldt. sur (invention de la boussole, Paris, 183t, in-8o*, figures. Dès la plus haute antiquité les Chinois ont connu l’aimant, sa force attractive et sa propriété de se diriger vers le nord. Ilais la plus ancienne mention de celle qu’il a de communiquer le magnétisme au fer ne se trouve énoncée que dans un ouvrage de l’an 12 ! de notre ère. Des livres publiés à peu près cent ans plus tard citent l’usage de la boussole pour marquer le nord et le sud ; d’aut.res, qui sontde His à Ht’}, indiquent l’inclinaison de l’aiguille aimautée, dont la découverte, che : les Européens, ne fut faite que par Christophe Colomb, dans son premier voyage en Amérique. Tous ces faits sont appuyés sur de nombreux témoignages historiquesklsprothuieatreilelasstnessaniàreque les p

ÉU · M Chiasissvaisuttaitlcugtsmpss t à p d’autres découvertes, telles que s fm a ve du sucein ; la csussdu tlus et [ çtelauner la poudre a canon, enûn l’imprimai rie, qui datec z eux des premières années du 1 siècle, et qui là fut portés dans lespaysv na. Il pensequ plusieurs de ces connaissances t été transmise par les navigateurs arabes au ; peuples de l’Asie occidentale, pub communiquées de proche en proche aux l’ouvrëe commence par des recherches sur ancienne de la connaissance de l’aimaut en Asie et en Europe, et sur les noms par lesquels ou désigne. cette pierre singulière, ainsi que l’aiguille aimantec, dans les divers idiomes, et dialectes de ces deux parties du momie. 25°* Tableau historique, géographique, ethnographique el politique du Caucase et des provinces lisnürophe/entre la Rusrie et la Perse, Paris, 1828, iu·8°. C’livre a souvent été mis à contribution par la ! écrivains qui ont traité des pays caucasiens Klaproth a publié, comme éditeur : Voyage en/Géorgie et en lesirslte. Beriin, 1815, in-8o, et Description des pays caucasiesss, par Guldenstaedt, ibid., .1851, in-8o (voy. Gutns sueur). - Voyage a Délrisi d tracer : la Mango ;. en 1820 et 1821. p N. G. Timkovski, Paris, 1827, 2 vol. in-8o gztlas. La préface de cette publication, que ous avons signée conjointement avec lilaproth, indique les changements que nous avons dû faire ai cette relation écrite en russe et à sa traduction par M. N..... ; nous y avons ajouté un index général qui manquait dans l’original.-Principes de l’étude comparative des, langue :. par le baron de Mérian, Paris, 1828, in-8o. klaproth les fit suivre d’observations sur les racines des laagues séasitiques. et dans la préface fit l’éloge de l’auteur, qui venait de mourir et qui avait été son ami. — Voyage dans les steps Jâstrokau et du Caucase. Histoire primitive des peuples qui ont habité ces contrées. Noueeau périple du Pont Euxirs, par le comte Jean Potoçki, Paris, 1829, 2 vol. in-Se, planches et cartes. Klaproth a accompagné ces volumes de notes et de tables, et dans la préface a exprimé sa sincère reconnaissance des bienfaits du comte Jean Potoçki. - Description du Tubet, traduite partiellement du chinois eu russo par le P. Hyacinthe Bitchourin et du russe en français par M...., soigneusement revus et corrigée sur l’origissal clsiisoir, complétée et aeeollpaglsée de notes, Paris, 1831, in-8o, cartes et plan. — Nipon o Dai ilsiran, ou Annales des empereurs du Japon. traduücs par M. Isaac Titsingh, osac hide de plusieur : interpréter attachés au comptoir lollculdis ds Naugasaki. ouvrage revu, complété et corrigé sur original japonais-chinois. accompagné de noter et précédé d’uss aperçu de füistoirs urythologiqua du Japon. Paris, 1834, in-4o. Ou trouvera i l’article Txrsusca le détail des travaux de ce voyageur ; ll. Landresse, un des bibliothécaires de Plnstitttt de France, a fait la table alphabétique des Aslllüdl y- Breve Notiaiu del repro del Tiôet —· ·M ; ;À, .·,