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ILL ’ suspense. Klopmthosposeles psrtles tslhles de l’oIvr•g• que Schmidt so propose de- traduire ; oelol-sl eonvlent de la justesse de quélquesmnes des observations.- Ser fajnitt da cophto am les lanjses en nord de l’Asia rt Je nord-est de l’L’uropm — cûlflflilûlidl Garges aoec les idionrss nstntt et principalement asse me qs’on nonuns rduit7 : n :·e.— uëlltfl de Jean Ono.rh°5ar(ian. suivi de eingt-huit anciennes descriptions arnsénienne :.· le titre annonce de plus que, pour traduire ce mémoire, ltlsproth s’est fait aider par un Arménien ; l’auteur svsit été témoin des événements arrivés en Géorgie et en Arménie, à la tln du 18e siècle et au commencement du suivant ; des notes servent i mieux comprendre son récit et à éclaircir ls géographie. — Notice enr ferchipel de Jean Potoçlsi, dans la partie septentrionale de la nier Jaune. Cct archipel n’avait pas été vu par les navigateurs anglais dans leurs explorations de la mer Jaune, jusqu’en 1816. Iilaproth le signale d’ap·ès les cartes chinoises, et paye un tribut d’éloges à son bienfaiteur, dont ll impose le nom à ces Iles. -· Description de Hte Fornsoss, extraits des livres chinois ; — Vocabulaire forneosan ; — Phrase : en formosan : détails très-curleux sur cette lle, nommée I’ha1·ousn par les Chinois. On sait que Psalmanazar (voy. ce nom) avait publié sur l’llc Formoseet ses habitants un roman qui a longtemps passé pour un ouvrage sérieux et a même été cité.-Sar l’origine du papieranonnais en Chine. Il y fut connu des l’an H9 avant notre ère, mais ne devint d’un usage général que dans le 10e siècle de J.-C. : ses vicissitudes sont intéressantes à suivre ; il disparut en M55. Il fut introduit en Perse par les Mongols ; tlarco-Polo en a fait mention.-Ezaaeen des historien : asiatiques, traduction du mémoire de l’A.rùx potygtotta. —· Lettre d ll. fabbd Granier. critique des assertions de ll. de Guignes, le fils, contraires à Panclenneté de l’histoire dela Chine. — Mot : sanscrits eosnpards avec ccas : des autre : idicases indo-germaniques et avec les langues de l’/late septentrionale.-Sur l’origine des Mandchoux. Ce peuple, dont les empereurs règnent aujourd’hui en Chine, à une souche commune avec les îongouses. L- Voyage tt la montagne Blanche, troduit du mande lieu. Cette chaîne, nommée en chinois 1’¢IaIsan q-pé-el•an, est située dans le pays des h land choux, au nord de la Corée. — Sur tes Tumn. explication de ce nom souvent employé inexactement. — Fmgnueuts sur les races et sur te : tangas : de l’ancim et du noueeau continent. - l/ie de Boldtütl Waprès lctwtiorer vnongolt. tfndtllte de I’/laiapotyytotta. —~ Caractere : primitifs des Chinois. —’Notico des Bal•o•sr ;·Naescn, ots Histoire du saùq Baboor, écrite par lai-snhao en tare orùntal Ce Bsbour est le fondateur de la dynastie mongole dans l’Inde, en 1525.— Description des ils : Lie••• Klicoss. extraite d’eaarages japonais et clsinois.-Dcocription des des Ion-ntnwina, trndttit le t’ouvrage japonais San-Isolrjîtrn-mn. — Recherches sur les ports de Gtmpea et de lattigonns sn Chine,

KLA 7 diem par ||are•·Pob. et qui se nomment aujourd’ltttl len-/ba et Teinan-teh•o•-felt. Ce tntltnolre est un cssal du commentaire que Klaproth proje· ’ tait de publier sur la relation du célèbre voyageur vénitien. - Histoire de le oltte de lhothea. -· C’est l’analyse du llvre de llémnaat portant le même titre. - Obeeractione criliguee sur les Recherche : reletine 6 l’histoire politique et religieuse de l’intérieur Je l’A: ie. publiées par I. Schmidt. — Eclair. elemnente sur une certe ehlnoire et japonaise de l’Inde. —· Lettres eur la littérature anendehoue. Elles avaient paru précédemment avec un titre particulier pour chacune. Elles sont dirlgées contre Latlglès. — Description du lac Baihal. — Vocabulaire latin, persan et conan de la bibliothèque de Francesco Petrerrho. La notice qui précède le vocabulaire contient des renseignements instructifs sur les Comans, peuple célèbre du moyen âge.-Notice de aner Caepienne. — Observations sur la carte de.l’1leie publiée en 1822 par M. Arrowsmlth : elles relèvent les nombreuses imperfections de cette carte. — Description du grand canal de la Chine, extraite d’oas•ragee chinois. — Ilésnoire sur le rotsre de la grande rivière du hbet. — Sur la langue des Afghans. — Notice d’ane carte japonaise coneeroée dans le musee britannique de Londre :.-Ilernarquee critique : sur la traduction allemande des œuvres de Confucius. par Schott. 1’1° Vocabulaire et grammaire de la langue géorgienne, Paris, 1827, in-8¤. ’l..a première partie, contenant le vocabulaire géorgien-l’rançais et françalvgéorgien, a seule été publiée. 18° Lettre eur les découverte : des hiéroglyphes acrologiques, adressée d hl. le conatc de - Goulienoj. Paris, 1827, in-8° ; 19° Seconde lettre sur le : hiéroglyphe. adressée à hl. D. 5..., Paris, 1827, in-8°*. llauteur pense qu’au point où l’on était parvenu dans la connaissance de l’écriture ltiéroglyphique des Égyptiens, les signes qui lormaient cette écriture étaient = 1. des caractères phonétique reconnus par Young et Champollion ; 2. des signes représentant les Initiales des mots, classe découverte par lt. de Goulianotl, et que Klaproth appelle acrologiquea ; 5. de véritables innages, qui signifleient ce qu’elles représentaient ; 4. des hiéroglyphes symboliques, classe encore peu connue ; 5. des signes auaglyphea, que l’on a espérance de connaître plus particulièrement pal’ les recherches de ll. de Goulianoll. Champollion répondit à la premlère lettre, ce qui donna lieu à la seconde. 20° Collection dïxntiquitée égyptiennes, recueillies par sl. le chevalier de Patin, publiées par Ill. Dorow et Klaproth, en trente-trois planches, auxquelles on en a jolnt une trente-quatrième représentant les plus beaux scarabées de la collection de ll. J. Passalacqua, précédées d’observations critiques sur l’alphabet hiéroglyphique découvert par Il. Champollion jeune, et sur les progrès faits jusqu’à ce jour dans l’art de tléclnitirer les anciennes écritures égyptiennes, avec deux planches, Paris, 1829, in-fol. ltlnproth ne conteste pas le mérite de Champollion ; il re