P. 142, n. 5. « Faire do bis » est à rapprocher de « faire » ou « contrefaire du gros bis », locution que j’ai rencontrée dans divers écrits du xve siècle ou du xvie, mais dont je ne saurais rendre compte. Ainsi, dans le mystère des Trois Doms, joué à Romans en 1509, on lit, v. 7485 : Bien contrefaiz cy du gros bis. Dans Rabelais on trouve le juron vray bis qu’on traduit, à tort ou à raison, par « vrai Dieu ».
P. 158, fin de la n. 4. Au lieu de « p. 304 », lis. § 304.
P. 164. L’appel de la note 1 doit être placé à la première ligne, après « Vienne. »
P. 174, note 5. Il est probable qu’il s’agit ici de Saint Léonard de Noblat, en Limousin, et non de Saint Léonard de Corbigny.
P. 177, l. 6. La note 4 se rapporte à Gace et non à Hugues.
P. 185, l. 6. Lis. « je ne le sais que trop. »
P. 185, n. 4. Il y a dans le fragment de Gormond et Isembart, v. 428, un témoignage sur l’usage de consulter les sorts avant d’aller à la guerre.
P. 186, n. 2. Au lieu de 2028, lis. 5028.
P. 189, n. 3, avant dern. ligne, « du S.-E. », lis. « au S.-E. »
P. 203, n. 1. C’est en effet « la hart » qu’il faut traduire. Il ne manque pas d’exemples de ce cri de guerre qui est généralement placé dans la bouche de gens de basse condition :
Lors [es]crient : « La hart ! la hart ! »
Ribaut franceis plein de la jangle.
Et dans Renart, éd. Martin, I, 277, v. 440-1 :
Et Renart qui les esgarda
Si s’escria : « La hart ! la hart ! »
P. 215, n. 3. Au lieu de Sompronh, lis. Sempronh.
P. 216-7. Le supplice qui inspire tant d’effroi au moine paraît avoir été particulièrement réservé aux membres du clergé. Voy. Guillaume le Maréchal, v. 11626 (dans le Bulletin de la Société de l’Histoire de France pour 1882), F. Sacchetti, nouvelle xxv, etc.
P. 228, dern. ligne. Au lieu de « chassera », lis. « chaussera. »
P. 237, l. 9 du bas. « Tu ne possèdes que les vêtements que tu portes ; » le mot à mot serait, je crois, « tu ne peux déclarer par serment... »
P. 266, n. 2. À la fin, au lieu de « n. 1 », lis. « n. 6 ».
P. 281, l. 3 de la note commencée à la p. précéd., au lieu de « et » lis. « ou ».