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recueil peu répandu, et dont les événemens de 1814 interrompirent la publication. À la suite des contes on en a aussi placé quelques autres que Mme Guizot avait traduits de l’anglais et de l’allemand, et qui l’avaient frappée, soit par une moralité ingénieuse, soit par des sentimens élevés. Enfin le conte qui termine le second volume, Caroline ou l’effet d’un malheur, a été écrit par une personne dont, à coup sûr, Mme Guizot eût encouragé les essais avec la plus tendre affection.