mant, incapable par lui-même de cette action sur les nerfs ; & me fit voir que je n’avois que quelques pas à faire pour arriver à la Théorie imitative qui faisoit l’objet de mes recherches.
Quelques jours après, ayant rencontré le Père Hell, je lui appris, par forme de conversation, le meilleur état de la malade, les bons effets de mon procédé, & l’espoir que j’avois, d’après cette opération, de rencontrer bientôt le moyen de guérir les maladies de nerfs.
J’appris, peu de temps après, dans le public & par les Journaux, que ce Religieux, abusant de sa célébrité en Astronomie, & voulant s’approprier une découverte dont il ignoroit entièrement la nature & les avantages, s’étoit permis de publier qu’avec des pièces aimantées, auxquelles il supposoit une vertu spécifique dépendante