sance momentanée & toujours imparfaite.
Le desir de pénétrer la cause de cette imperfection, & mes observations non interrompues, m’amenèrent successivement au point de reconnoître l’opération de la Nature, & de la pénétrer assez pour prévoir & annoncer, sans incertitude, les différentes révolutions de la maladie. Encouragé par ce premier succès, je ne doutai plus de la possibilité de la porter à sa perfection, si je parvenois à découvrir qu’il existât entre les corps qui composent notre globe, une action également réciproque & semblable à celle des corps célestes, moyennant laquelle je pourrois imiter artificiellement les révolutions périodiques du flux & reflux dont j’ai parlé.
J’avois sur l’aimant les connoissances ordinaires : son action sur le fer,