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CHAPITRE XI

Mon mari fut très étonné en constatant le changement qui s’opérait en moi. J’étais moins mélancolique, j’avais des accès de gaieté, j’étais plus tendre avec lui. Il s’en montrait satisfait. Ma vie désormais avait un but, j’aimais intensément. Tout s’était si bien arrangé, j’avais été aussi patiente que la mule du Pape. Si je n’avais pu l’épouser, il était à moi cependant. Tout à moi.