Page:Merrill - Petits Poèmes d’automne, 1895.djvu/47

Cette page a été validée par deux contributeurs.

XIII

La nuit, dans un pays de fleurs
Tristes comme tes yeux, ô Bonne,
J’ai tressé pour toi la couronne
Mystique des sept douleurs.


Ci l’amarante et l’anémone,
Le souci, la rose et l’iris,
Avec l’asphodèle et le lis
Des urnes d’or de l’automne.