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À UN AMI

Ami,
Ta maison rose en cette saison,
À l’heure calme du crépuscule
Qui par delà la plaine recule
Les limites d’or de l’horizon,
Ta maison dont toutes les fenêtres
Se sont ouvertes à tous les vents
Qui soupirent des secrets champêtres
Dans les volubilis des auvents,
Ta maison dont la timide porte