Page:Merrill - Les Quatre saisons, 1900.djvu/86

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Et lorsque nous aurons trouvé notre maison
Parmi ses vignes dégouttant de pluie,
Nous dirons, très humbles, une oraison
Pour le pâtre aveugle qui s’enfuit

Vers la montagne violette de nuages.
Où cette nuit nous verrons luire,
Clair comme l’espoir après l’orage,
Son bûcher où des ailes se déchirent.