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NOTES.

1. Ce chant a été improvisé par Maglanovich, à l’enterrement d’un heyduque son parent qui s’était brouillé avec la justice et fut tué par les Pandours.

2. Les parens et les amis du mort lui donnent toujours leurs commissions pour l’autre monde.

3. Jamais un père ne se fâche contre celui qui enlève sa fille, bien entendu lorsque tout se fait sans violence. (Voy. note 1, l’Amante de Dannisich.)

4. On enterre les heyduques avec leurs armes, leur pipe et les habits qu’ils portaient au moment de leur mort.


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