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il poussa Jean Lubovich pour qu’il se levât. « Maintenant que tu es sobre, veux-tu me donner cette femme ? » Mais Jean Lubovich n’a pas répondu, et il s’est assis, et des larmes coulaient de ses yeux noirs.


14.

Alors Cyrille s’est assis de son côté, et il regardait tantôt l’esclave turque et tantôt son ami, et il regardait quelquefois le hanzar qui était à sa ceinture.


15.

Or, les jeunes gens qui étaient venus à la guerre avec eux se disaient : « Qu’arrivera-t-il ? deux pobratimi rompront-ils l’amitié qu’ils se sont jurée à l’église ? »


16.

Quand ils furent restés assis pendant long-