Page:Merimee - La Guzla, Levrault, 1827.djvu/200

Cette page a été validée par deux contributeurs.


12.

L’hermite a pris du sang et de la terre de la fosse, et en a frotté le corps de l’enfant ; et Constantin et Miliada en ont fait autant ; et le soir ils disaient : « C’est à cette heure que ce méchant étranger est mort. » Et comme ils parlaient, le chien a hurlé et s’est caché entre les jambes de son maître.


13.

La porte s’est ouverte et un grand géant est entré en se baissant ; il s’est assis les jambes croisées, et sa tête touchait les poutres de la maison ; et il regardait Constantin en souriant, et celui-ci ne pouvait détourner les yeux, car il était fasciné par le vampire.


14.

Mais l’hermite a ouvert son livre et il a jeté