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gnement de la guzla ne les relève pas beaucoup, et l’habitude de l’entendre peut seule rendre cette musique tolérable. À la fin de chaque vers, le chanteur pousse un grand cri ou plutôt un hurlement, semblable à celui d’un loup blessé. On entend ces cris de fort loin dans les montagnes, et il faut y être accoutumé pour penser qu’ils sortent d’une bouche humaine.


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