Page:Mercure de France - 1672 - Tome 1.djvu/11

Cette page n’a pas encore été corrigée
EPISTRE

mais la Critique prétend que ſon empire s’étend ſur tout, & qu’il n’eſt point de Panégyrique où elle n’ait droit de trouver à redire. Si je pouvais pourtant faire celuy de Voſtre Majeſté, il ſeroit exempt des attaques de l’Envie, & je ſuis aſſuré qu’on n’y pouroit reprendre que la foibleſſe avec laquelle je traiterois une ſi belle matiere : Mais auſſi vos