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offroient à son art des touches pittoresques. C’est tout ce qu’il cherchoit ; & c’est aussi tout ce qui restera de ces bizarres cérémonies qui n’intéressent ni le cœur ni l’esprit, qui ne touchent personne, & dont la dépense devroit s’appliquer à des travaux plus durables & plus utiles.
Le cirier trouvera sans doute cette réflexion fort déplacée ; mais brûler tant de bougies en plein jour, au risque d’incendier des planches noircies & des toiles vernissées, me paroît un des usages déraisonnables que notre siecle devroit abolir ; car pourquoi répéter les vieilles & absurdes coutumes des siecles passés ?
CHAPITRE DXXV.
Charades.
Les calambours régnoient chez les spirituels Parisiens ; les charades sont venues leur disputer la prééminence. Après un grand