Page:Mercœur - Œuvres complètes, I, 1843.djvu/493

Cette page n’a pas encore été corrigée


LE VŒU [1].
COUPLETS.

I.

Lorsque tu ne sens plus la flamme
Qui dévore mon faible cœur ;
Lorsque tu m’as repris ton âme,
Qu’une autre fasse ton bonheur !
Qu’elle ignore, heureuse et charmée,
Ce qu’on souffre en perdant ta foi…
On meurt quand on n’est plus aimée…
Puisses-tu l’aimer plus que moi !

  1. Mademoiselle Dellatore, maîtresse de musique de Mademoiselle, avait fait demander à Élisa quelques vers par le docteur Alibert.