Page:Mercœur - Œuvres complètes, I, 1843.djvu/478

Cette page n’a pas encore été corrigée

C’est au cœur du poète un noble et saint espoir,
C’est un pressentiment de ta grandeur future,
Siècle dont la jeunesse est si grande et si pure,
Qui révèle au midi ton déclin et ton soir.


(1839.)