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LE
RÉVEIL D’UNE VIERGE.
Rien ne t’interrompra, monotone silence, |
Élisa Mercœur |
La cloche matinale et résonne et t’appelle,
Vierge ; me rêve plus un prestige effacé.
Éveille-toi, l’airain de la chapelle,
Plaintive Nataly, déjà s’est balancé.
C’est l’heure où chaque jour, soulevant ta paupière,
S’ouvrent tes yeux, cet asile des pleurs ;
Quand au pied des autels, près de tes jeunes sœurs,
Ta douce voix soupire une prière ;