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L’ÉPHÈBE
eune homme, sur ton front neigeux comme l’hermine
Ta chevelure allume un céleste halo ;
Ta joue immaculée où l’incarnat domine
Eût ravi cet amant des roses, Murillo !
Jeune homme, sur ton front neigeux comme l’hermine
Ta chevelure allume un céleste halo ;
Ta joue immaculée où l’incarnat domine
Eût ravi cet amant des roses, Murillo !