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LES DEUX ROSSIGNOLS
J’ouvris la fenêtre… Ah ! que j’étais triste et las…
Et je m’agenouillai vers le doux paysage.
Le souffle de la nuit printanière au visage
Me jeta l’odeur des lilas.
J’ouvris la fenêtre… Ah ! que j’étais triste et las…
Et je m’agenouillai vers le doux paysage.
Le souffle de la nuit printanière au visage
Me jeta l’odeur des lilas.