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bane ; il avait besoin d’un bâton, maintenant.

Comme ils étaient gais les soupers, naguère, au retour, après la besogne finie ! On vidait parfois un pot de cidre, et le petit, à qui le grand-père avait passé sous la table les meilleurs morceaux de son assiette, s’endormait enfin sur sa chaise haute, content, repu, avec de grasses joues.

Hélas ! le souper de ce soir !

Le vieux marchait lentement, comme quelqu’un qui ne voudrait pas avancer. Il s’arrêtait quelquefois contre un arbre, ne voulait pas aller plus loin, et se déchirait la face à l’écorce, en pleurant un reste amer de larmes.

Annoncer la chose à la Cadije ! et