LIVRE QUATRIEME. 271 ftoit , que ledit Dac alloit fouvent à Tentour de I47f’ fon oit , fur un petit cheval , avec peu de gens (&difoit vray ) & que là ne faudroit point de le tuer ou prendre : Encores faifoit-il une autre ou- verture au Roy : c’elloit , que fi le Roy & ledit Duc fc venoient à trouver en bataille , l’un devant l’autre , qu’il fe * tourneroit de fon party , avec* trouveroît fes Gens-d’armes , moyennant certaines chofes qu’il demandoit. Le Roy eut la mauvaillié de cet L’^^/.^xf °^ homme en grand mefpris: 6c voulut monftrer au- dit Duc de Bourgogm de grandes franchifes : & luy fit fçavoir tout cecypar le Seigneur de Co;7/^v : dont aelté parlé : mais ledit Duc n’y adjoufla point de tby , ains eftimoit que le Roy le laifoit à au- tres fins : & en ayma beaucoup mieux ledit Com- te. Parquoy vous voyez que Dieu luy troubla le fens en cet endroit, aux claires enfeignes , que le Roy luy mandoit : Autant que cettui-cy , dont j’ay parle, eftoitmauvais & déloyal, autanteiloit bon & loyal Jaques Galeot : & après avoir lon- guement vefcu , eft mort en grand honneur & re- nommée. G I N-