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volantes écrites sous l’inspiration du moment et qui n’ont d’autre mérite que d’être composées par un amant passionné de la Grande-Amie, l’amie de tout le monde.

Aussi, la sincérité avec laquelle j’y prêche et défend sa cause me fait-elle espérer la bienveillance et l’indulgence du lecteur.

« Tes ans sont au passé, (Hébert), les miens à l’avenir,
« Mais de ton saint labeur, ma jeunesse est éprise.
« De mon âme, ton âme héroïque est comprise,
« Et nos rêves, de loin, peuvent se réunir…[1]

  1. Par nos champs et nos rives, page 87, Blanche Lamontagne.

    La fête religieuse du troisième centenaire de Louis Hébert eut lieu à Québec, le 4 septembre dernier ; l’érection du monument en son honneur et à la gloire de l’Agriculture, pour des raisons incontrôlables, fut remise à septembre 1918. À cette occasion, la vieille cité de Champlain ouvrira toutes grandes ses portes aux nobles descendants d’Hébert, et l’événement donnera lieu à des fêtes splendides.