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tions… J’eſpérois être tranquile quand j’aurois mis ſur mon corps vos odieux habillemens.
Le Colonel.
Tu portes donc ces habits par force & non par choix ?
Delby. (d’un ton de Quakre.)
Tu as dis la vérité, ami.
S. Prim.
N’es-tu pas honteuſe, Nanine, de te moquer de ce ſaint perſonnage ? Hélas ! tu as un cœur bien endurci.
Le Colonel.
Ne la gronde pas ; elle ne me bleſſe point. Si tu veux la laiſſer ſeule avec moi, je diſcuterai quelques points avec elle, qui peut-être amolliront la dureté de ſon cœur, & la rameneront à quelque complaiſance.
T. Prim.
Fort bien, contente-toi ; tâche de lui inſinuer la vérité… Allons,