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ment bon ; c’eſt un ouvrage de France, à ce que je préſume.
Le Colonel.
Je l’ai achetée à Paris, Monſieur ; j’en crois le travail extrèmement bien fini.
Fopington.
Fini… Cela eſt exquis, admirable… Puis-je, Monſieur, prendre la liberté de vous demander quel eſt le climat aſſez heureux, pour pouvoir ſe vanter d’avoir donné naiſſance au cavalier le plus accompli qu’il y ait dans l’univers ?… C’eſt ſans doute la France.
Le Colonel.
Vous ne me croyez donc pas Anglois ?
Fopington.
Non, ſur ma parole, je ne le crois pas.
Le Colonel.
J’en ſuis fâché.