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CHAPITRE XLII.

Crainte de la mort.



Les anciens philosophes semblent n’avoir été occupés qu’à combattre la crainte de la mort. On pourrait répéter ici tout ce qu’ils ont dit, qu’il ne faut point craindre ce qui n’est que la privation de tout sentiment etc. ; j’aimerais autant dire comme ce Capucin, que c’est une grande attention de la nature, d’avoir placé la mort à la fin de la vie[1].

  1. On prétend qu’il est si difficile de mourir, disait une femme naïve, je