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CHAPITRE XVI.
Conclusion du premier Livre.
Depuis cet entretien leur liaison
redevint plus intime et plus suivie
qu’elle ne l’avait encore été. Les raisonnemens
de Betzi, bien plus sûrement
encore le charme de ses caresses
et l’irrésistible pouvoir du sentiment
dont leurs cœurs ne cessaient de s’enivrer
mutuellement, semblaient l’avoir
emporté sur tous les principes et sur
toutes les préventions de Séligni ;
mais par une contradiction bizarre,
et peut-être cependant assez naturelle,
plus Séligni se trouvait heureux de
cette manière d’être, moins elle contentait
aujourd’hui les vœux secrets