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LIVRE PREMIER.



CHAPITRE PREMIER.


Fin du Roman.




Il avait à peine trente ans, le bon Séligni, qu’il croyait déjà la sensibilité de son cœur entièrement épuisée par une passion dont l’objet n’était plus. — Voilà un roman qui commence comme la plupart des romans pourraient finir. — C’est justement pour cette raison que le bon Séligni pensait lui-même être à la fin du roman de sa vie. Ce qu’il craignait le plus, c’était de se laisser séduire par de nouvelles illusions. Il avait aimé