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GUADALENA, vivement.
Ah ! ce n’est pas de notre faute, seigneur… Nous lui avons offert…
PANATELLAS.
Bien !… bien !… (A Piquillo.) Un mot seulement… es-tu marié ?
PIQUILLO, encore étourdi.
Hé ?…
PANATELLAS.
Es-tu marié ?…
PIQUILLO.
Non…
PANATELLAS, aux trois cousines.
Emmenez-le chez vous, alors, et faites-le revenir à lui… donnez-lui à boire, j’irai lui parler tout à l’heure.
Berginella et Guadalena font lever Piquillo et le soutiennent.
PIQUILLO, emmené, ou, pour mieux dire, emporté par Guadelena et Berginella.
Qui est-ce qui a donné un coup de pied dans l’escabeau ?… ça n’est pas moi !… ça n’est pas moi !…
Il entre dans le cabaret avec Guadalena et Berginella. — Mastrilla remet le tabouret à sa place, don Andrès sort de sa petite maison.
Scène XIV
MASTRILLA, PANATELLAS, DON ANDRÈS, puis DON PEDRO, ensuite GUADALENA et après BERGINELLA.
DON ANDRÈS, vivement à Mastrilla.
Du malaga !… Vite, la fille, apportez-nous du malaga !
MASTRILLA, riant.
Oui, monsieur le docteur…
Elle entre dans le cabaret.
DON ANDRÈS, à Panatellas[1].
Eh bien ! comte, avez-vous trouvé ?…
- ↑ Panatellas, Don Andrès.