Ah ! la voilà, la voilà ! Madame, il s’agit d’un oiseau… l’oiseau favori de ma nièce : il s’est envolé. Je sais qu’il faut vous apporter quelque chose ayant appartenu au sujet… voilà une de ses plumes.
Qu’est-ce que vous voulez que je fasse de ça ?
On nous a dit que dans cette maison il y avait une somnambule… alors nous sommes venus… pour l’oiseau.
Oiseau vous-même !….
Madame
Votre erreur est excusable, mais enfin la somnambule est au bout du corridor.
Alors, il y en a deux !
Comment ?….
Une noce, mon oncle, c’est une noce.
C’est vrai, ma foi, une noce de petites gens.
Donnons quelque chose à la mariée, mon oncle… (A Jeanne) tenez, mademoiselle, yoici une petite bague.
Mais, mademoiselle…
Oh ! prenez, je vous en prie… cela me portera bonheur pour mon mariage à moi… car je me marierai, moi aussi.
Bientôt ?
Dans quatre ans… avec mon petit cousin Raoul de la Belle--