Tiens c’est vrai. On dit comme cela des phrases qui ont l’air d’être superbes… Et puis quand on les creuse… j’aurais dû dire : Si c’est impossible je le ferai faire par un autre…
Ç’eût été mieux, mais laissons cela… On vendra le château tout à l’heure ?
Oui.
C’est vous qui ferez la vente ?
Même que je viens d’apporter mon petit marteau, ainsi…
Je connais une personne qui donnerait bien cinq cent elle francs de ce château.
Il vaut près d’un million…
Qu’est-ce que cela fait ?
Comment, qu’est-ce que cela fait ?
Puisque c’est vous qui mènerez la vente.
Eh bien ?…
Avec un peu d’intelligence, notaire…
Vous me faites peur…
En disant : J’ai marchand à cinq cent mille francs, et, en ajoutant tout de suite : Adjugé… avec un coup de votre petit marteau : toc, toc…
Toc, toc !…