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» à mon col et ses baisers m’enflammèrent. Il s’apperçut de l’effet qu’ils produisaient en moi, et me prenant la gorge et le cul, les reins et le ***, avec un transport extraordinaire, il me dit : montre-moi tout ma Zeni, ne me laisse rien ignorer.

» Je me déshabillai avec ardeur ; il n’y eut aucun endroit de mon corps qu’il ne regardât, qu’il ne baisât, et dont il ne fit un éloge particulier. Je lui demandai la permission de voir et de toucher son *** sacré : il me l’accorda ; je le baisai mille fois, je l’examinai avec attention : enfin j’étais effrénée de desirs, et le Sultan était tout en feu. Il me témoigna son desir, et je me couchai pour le satisfaire. Il eut au commencement quelque peine à entrer ; mais j’avais tant d’envie de