Page:Mayeur - L’Odalisque, 1796.djvu/39

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
( 33 )


» toi et tous les délices dont on peut enivrer les sens.

» N’oublie pas dans cet heureux moment de l’embrasser de tes deux jambes, et de le lier de tes beaux bras que tu feras couler sans cesse de ses épaules jusques aux fesses.

» Quand sa Hautesse aura déchargé, c’est-à-dire qu’il n’aura plus aucun mouvement, et que ses yeux auront changé, pour lors il faudra demeurer immobile, tout au plus donner au soleil de ton ame de tendres et de doux baisers, mais légers, et le laisser sortir tout comme il lui plaira de ton *** délicieux.

» Lorsqu’il sera retiré, tu prendras un des mouchoirs brodés par les bords, tels que je t’en ai fait voir, tu le trouveras sur

  
C