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VII



PETIT-CERF À CARILLON



LES deux petites Anglaises, à peine remises de leur frayeur, venaient de regagner le fort où le capitaine Fisher, remarquant leur mine déconfite, s’informa de la cause de leur énervement.

— Grand’père, c’est que nous venons d’avoir bien peur !

— Qu’y a-t-il donc ?

— Un serpent ! s’écria Fairy.

— Un sauvage ! s’écria Georgette.

— Un serpent ? Un sauvage ? Expliquez-vous !

— Grand’père, tu sais la petite clairière un peu plus loin que les glacis où il y a tant de belles ronces ?