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LA BLESSURE

talité charmante avec laquelle on l’accueillait toujours.

Il ne partageait pas toutes ses opinions, loin de là. Leurs idées sur la religion, la société, les affaires différaient presque toujours, mais leurs discussions restaient amicales quoique souvent très vives.

— Vous êtes trop jeune, Pierre, lui disait un jour le courtier ; je suis votre aîné, j’ai de l’expérience… je sais que la vie se chargera bien de vous guérir d’un excès d’altruisme !