Moi aussi ; il y a des années ; lorsque j’étais enfant ; mais je ne mien souviens presque plus.
Pourquoi veut-il que nous sortions chaque fois que le soleil se montre ? Qui est-ce qui s’en aperçoit ? Je ne sais jamais si je me promène à midi ou à minuit.
J’aime mieux sortir à midi ; je soupçonne alors de grandes clartés ; et mes yeux font de grands efforts pour s’ouvrir.
Je préfère rester au réfectoire, près du bon feu de houille : il y avait un grand feu ce matin…
Il pouvait nous mener au soleil dans la cour ; on est à l’abri des murailles ; on ne peut pas sortir, il n’y a rien à craindre quand la porte est fermée ; – je la ferme toujours. – Pourquoi me touchez-vous le coude gauche ?
Je ne vous ai pas touché : je ne peux pas vous atteindre.
Je vous dis que quelqu’un m’a touché le coude !