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lait que l’héritier fût maniable et il l’était. Mais Doubledent s’était heurté, comme on l’a vu, à Georges Raymond, devenu son conseil ; pour couvrir sa retraite et ramener de nouvelles batteries sur le terrain, le terrible agent d’affaires avait écrit à Karl la lettre astucieuse dont nous avons parlé plus haut ; puis replié sur lui-même comme un boa, il n’avait plus donné signe de vie.