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des abénakis
sont sur les rivières Tobique[1] et Saint-Jean.
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/a/af/Maurault_-_Histoire_des_Ab%C3%A9nakis_depuis_1605_jusqu%27%C3%A0_nos_jours%2C_1866_%28page_69_crop%29.jpg/100px-Maurault_-_Histoire_des_Ab%C3%A9nakis_depuis_1605_jusqu%27%C3%A0_nos_jours%2C_1866_%28page_69_crop%29.jpg)
- ↑ Il ne sera pas inutile de dire ici l’origine du mot « Tobique ». Près de son embouchure, la rivière Tobique coule, l’espace de deux ou trois arpents, entre deux gros rochers, dont les sommets sont presque réunis à une grande hauteur au-dessus de l’eau. Ce qui forme une longue voûte sous-roc où les rayons du soleil ne pénètrent jamais, Pour cette raison, les sauvages appelèrent cet endroit : « Tebok » nuit. C’est de ce mot que vient celui de « Tobique ».