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Je verrois volontiers la vie des criminels ſervir à ces opérations, quelque peu qu’il y eût d’eſpérance de réuſſir : mais je croirois même qu’on pourroit, ſans ſcrupule, l’expoſer pour des connoiſſances d’une utilité plus éloignée. Peut-être feroit-on bien des découvertes ſur cette merveilleuſe union de l’ame & du corps, ſi l’on oſoit en aller chercher les liens dans le cerveau d’un homme vivant. Qu’on ne ſe laiſſe point