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ſeroit ſans doute par celles auxquelles la nature ne ſupplée jamais, & pour leſquelles juſqu’ici l’art n’a point de remède. Un rein pierreux, par exemple, cauſe les douleurs les plus cruelles, que la nature ni l’art ne peuvent guérir : l’ulcère d’une autre partie fait ſouffrir aux femmes des maux affreux & juſqu’à ce jour incurables. Qu’eſt-ce qu’on ne pourroit pas alors tenter ? Ne pourroit-on pas même eſſayer d’ôter ces parties ?