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ſures qu’on a priſes des degrés du méridien ſéparés par de grandes diſtances, comme de la France au Pérou, ou en Lapponie, n’ont pas à la vérité ce dernier défaut, mais elles ont une partie de la même inſuffiſance ; elles n’ont donné avec certitude que les différentes courbures du méridien dans ces lieux, & ne ſauroient nous aſſurer que dans les intervalles qui les ſéparent, cette courbure ſuive aucune des loix qu’on a ſuppoſées.