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tres de la ſeconde ne ſe trouvent juſqu’ici que parmi les arbres. Quelques Botaniſtes prétendent être parvenus à faire, parmi les végétaux, des monſtres de la première ſorte : ſeroit-il impoſſible de parvenir à faire ſur les animaux des monſtres de la ſeconde ?

On connoît la reproduction des pattes de l’écreviſſe, de la queue du lézard, de toutes les parties du polype. Eſt-il probable que cette merveilleuſe propriété n’appartienne qu’à un pe-