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non ſeulement on n’a point encore de remède ſpécifique pour cette maladie, mais qu’on n’a pas encore trouvé de traitement qui y ſoit certainement utile ? n’eſt-ce pas la preuve que ces cures que le Médecin croit obtenir de ſon art, ne ſont dues qu’à la nature, qui a guéri le malade, de quelque manière qu’il ait été traité.

Je ſais que les Médecins diront que les maladies recevant des variétés du tem-