Page:Maupassant - Yvette.djvu/178

Cette page a été validée par deux contributeurs.

par la moiteur des seins à peine cachés qu’il faisait fléchir sous sa bouche.

Lorsqu’elle fut couchée, il se releva fort pâle. « Elle va revenir à elle, dit-il, ce n’est rien. » Car il l’avait entendue respirer d’une façon continue et régulière. Mais, apercevant tous les hommes, les yeux fixés sur Yvette étendue en son lit, une irritation jalouse le fit tressaillir, et s’avançant vers eux :