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SUR L’EAU

entier magnifique. La route ensuite s’enfonce dans les montagnes et bientôt traverse le bourg de Cogolin. Un peu plus loin, je la quitte pour prendre un chemin défoncé qui ressemble à une longue ornière. Une rivière, ou plutôt un grand ruisseau, coule à côté, et tous les cent mètres coupe cette ravine, l’inonde, s’éloigne un peu, revient, se trompe encore, quitte son lit et noie la route, puis tombe dans un fossé, s’égare dans un champ de