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déserte et je retourne à bord du Bel-Ami, où m’attend un déjeuner modeste préparé par les mains de Raymond, que je retrouve en tablier blanc et faisant frire des pommes de terre.



Pendant le reste du jour j’ai lu.

Le vent soufflait toujours avec violence et le yacht dansait sur ses ancres, car nous avions dû mouiller aussi celle de tribord. Le mouvement