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hommes repoussaient de partout. Il ne savait plus que faire, où aller, où porter ce mort sacré pour lui, quand il vit cette roche nue de Saint-Ferréol



au milieu des flots. Il y fit débarquer le cercueil qui fut enfoui au milieu de l’îlot.

C’est seulement en 1845 qu’il revint avec deux amis chercher les restes de son père pour les transporter à Gênes, dans la villa Gajona.

N’aimerait-on pas mieux que l’extraordinaire violoniste fût demeuré sur l’écueil hérissé où